Établi à l’époque à La Havane, le photographe suisse constate l’omniprésence des affiches Coca-Cola, mais aussi celles de l’effigie du Che. Pour lui, le choc visuel de ces deux icônes en dit long sur le climat politique des années 60 et 70. Cette série, montrée dans le livre et l’exposition Quand il n’y a plus d’Eldorado en 1982, est rééditée et augmentée de photos inédites.